Raphael Golta, chef du Département des affaires sociales de la ville de Zurich, écrit dans un éditorial publié dans la NZZ qu'une réduction forfaitaire des prestations visant à couvrir le minimum vital ne pousse pas les plus faibles de notre société vers le marché du travail mais les précipite dans la pauvreté.
Lors du passage à l’aide sociale, le problème central réside dans le manque d'opportunités sur le marché de l’emploi et non dans les incitations financières erronées, a précisé M. Golta.
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